mercredi 23 septembre 2009

Les tonalités

toutes tonalités et leurs caractéristique :





-tragique: C'est toujours un événement malheureux qui fait irruption dans l'existence d'un homme ou de tout un peuple. La manifestation de l'angoisse de celui qui s'exprime "l'auteur".





-comique: Le comique cherche à provoquer le rire ou le sourire. Ce qui déclenche le rire , c'est toujours la surprise, l'inattendu.









-lyrique : Le registre lyrique se caractérise notamment par l'expression personnelle des sentiments intimes.





-pathétique : Les plus hauts degrés de la tristesse et de la souffrance humaines, provoquent l'attendrissement, voire la pitié, du lecteur.



-Dramatique : On peut convenir que le registre dramatique cherche à entraîner le lecteur dans une suite d'événements rapides qu'ils soient tristes ou gais.





-épique : Il s'agit donc d'attiser l'intérêt du lecteur, de l'impressionner afin de provoquer son admiration ou son enthousiasme.





-fantastique : Le texte fantastique témoigne, avant tout, de l'apparition de l'étrange et du surnaturel dans un contexte quotidien.





-ironique : l'ironie repose sur la capacité de l'auteur à déconcerter son lecteur. L'ironie a pour objectif d'attirer l'attention du lecteur sur des grandes questions .








extraits :


-tragique : Dans cet état, elle pénètre dans d’autres êtres ; la croyance à l’enchantement était générale. Ce n’est pas une mascarade arbitraire. Le drame se jouait sans spectateurs parce que tous y participaient. Le principe d’individuation était brisé, le dieu, (“le libérateur”), avait délivré tous les êtres d’eux-mêmes, chacun était métamorphosé. Les affects sont convertis en l’état d’extase, les douleurs suscitent le plaisir, l’effroi suscite la joie. Le chant et la mimique de ces masses fougueusement excitées étaient quelque chose de complètement nouveau et d’inouï dans le monde grec homérique, c’est quelque chose d’asiatique et d’oriental que les Grecs, avec leur prodigieuse force rythmique et plastique, en un mot avec leur sens de la beauté, ont maîtrisé jusqu’à en tirer la tragédie, comme ils ont aussi maîtrisé le style du temple égyptien.





-comique :

jeudi 7 mai 2009

La poésie

Une petite définition de la Poésie à ne pas négliger.


La poésie est un moyen de s’exprimer librement tout en faisant passer un message. La poésie peut parler de plusieurs sujets et peut même critiquer des événements, des mentalités des gens. Pour le lecteur la poésie est un moyen de se détendre, à mon avis plus qu’en lisant un roman ou une BD, car il y a des procédés d’écritures spécifiques.


Grands poètes :

-Victor Hugo, 1802-1885a dominé le 19ème siècle littéraire français.


-Musset, 1810-1857: Travaille plus le romantique.

- Charles Baudelaire : Si comme de nombreux artistes de cette époque il n'aura connu le succès qu'à titre posthume, il restera néanmoins comme l'un des poètes les plus marquants de notre histoire de l'art.












Le symbolisme :






Le symbolisme est un mouvement littéraire artistique apparu en
France et en Belgique vers 1870, Le symbolisme est une réaction au naturalisme. Il s'agit de "vêtir l'idée d'une forme sensible". Les symbolistes ne peignent pas fidèlement l'objet, contrairement aux naturalistes, mais recherchent une impression, une sensation, qui évoque un monde idéal et privilégient l'expression des états d'âmes. Les symboles permettent d'atteindre la réalité supérieure de la sensibilité.

extrait:
Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve
Trouveront dans ce sol lavé comme une grève
Le mystique aliment qui ferait leur vigueur?









Le romantisme :



Le romantisme s'esquisse par la revendication des poètes du « je » et du « moi », qui veulent faire connaître leurs expériences personnelles et faire cesser cet aspect fictif attribué aux poèmes et aux romans.

extrait:
On aime et on souffre.
On aime et on perd
On aime et on se perd

Le surréalisme :



Le surréalisme est un mouvement littéraire et artistique né après la Première Guerre mondiale ; ce mouvement succède au dadaïsme.
Le surréalisme repose sur la croyance à la réalité supérieure de certaines formes d'associations négligées jusqu'à lui, à la toute-puissance du rêve, au jeu désintéressé de la pensée.



extrait:

Le mort respirait de grandes bouffées de vide
Le compas traçait des carrés et des triangles à cinq côtés
Après cela il descendit au grenier





jeudi 16 avril 2009

Le dialogue argumentatif( le récit )

Deux anciens amis Julien et Arthur se croisent dans la rue. L’un deux Julien a réussit dans la vie, a contrario du deuxième Arthur qui est un minable. Ils décident de prendre un verre, c’est le début des hostilités :

« Ce bar est bien non ». Ils entrent dans le bar, choisi par le plus aisé des deux, s’assoient et commandent un verre : « Une coupe s’il vous plait, et une demi-pêche ». Avec un regard perplexe, le serveur lui demande ce qu’est une « demi-pêche ».
Arthur lui répond comme si c’était évident : « Ben… Une bière… Avec du sirop de pêche ».
Julien lui affirme d’une voie imposante : « Ils ne vendent pas de bière ici. Prends une coupe si tu veux ».
Arthur un peu hésitant réclame la commande : »Va pour deux coupes Maurice !!! C’est pour moi !
Julien rigole et lui répond : « Merci mais ce n’est pas la peine ».
Les deux consommations arrivent, bien évidement le plus pauvre n’a pas assez ne serai-ce que pour payer son verre. C’est donc le plus aisé qui paye le tout.
Arthur en colère, s’énerve : «T’es vraiment arrogant, tu n’as pas changé ! Je ne pensais pas que le prix était aussi cher !!! C’est donc ça la richesse ?
Julien étonner et fatiguer de lui expliquer : « Oui c’est absolument ça : Plaisir, Pouvoir…
Arthur démoraliser : « Et qu’est-ce que ça t’apporte ?
Il réfléchit : « Tous ce que tu n'as pas!
Julien conclue cette concession : « C’est vrai, Je comprends ce que dire, cela dit j’ai le pouvoir de payer une belle vie à mes enfants et ma femme ! Toi tu n’as rien ! Tu es un minable et un demeuré qui plus est. Tu n’as pas changé non plus rassure toi, toujours aussi peu ambitieux, aussi terre à terre !
Furieux le pauvre Arthur s’en va en pleurant !!!



travail avec Arthur
Théàtre sur son blog

jeudi 19 mars 2009

La cuisine moléculaire

La cuisine moléculaire, A quoi sa sert ?


La gastronomie moléculaire a un intérêt industriel vis-à-vis de la commercialisation des plats préparés et de l'agroalimentaire
La cuisine moléculaire ne date pas d’hier mais plutôt d’une vingtaine d’année.Hervé This, scientifique se focalise sur ce qui se passe dans une cuisine !Ne vous êtes vous jamais interrogé pourquoi on arrive à faire une mayonnaise à base de liquide ?
Hervé this.


Hervé This, né le 5 juin 1955
à Suresne, est un chimiste français, c’est lui qui lança se style de cuisine très délicat mais très agréable a voir.
Ce style de cuisine révolutionne notre cuisine française et européenne grâce a cette aspect étrange, on se pose énormément de question en voyant sa, juger par vous-même :






Une crème brûlée, une béchamel, c’est moléculaire. C’est une appellation un peu ironique. Principalement affaire de texture, cette cuisine d’exploration est de plus en plus présente sans toutefois faire partie des habitudes des cuistots.
Le but de la cuisine moléculaire n’est pas de faire une cuisine pour la santé. Pourtant, elle peut être bénéfique. « La cuisine moléculaire favorise effectivement une cuisine plus légère.
Prochaine étape de la cuisine moléculaire : faire rimer santé et gastronomie ! De quoi révolutionner l’ordinaire de toutes les cafétérias d’hôpitaux.

Ma thèse: pour la cuisine moléculaire.

Mes argument:

1- Cette cuisine nouvelle change.

2-Elle répond a des attantes clientèle.

3-l'estétique de cette nouvelle assiette.

Le dialogue argumentatif




Le dialogue argumentatif, c’est tout simplement avoir deux thèses différentes, qui sont contradictoire.
C’est une histoire de dominance, chaque personne donne des argument à l’autre afin de lui prouver qu’il a raison.
Le dialogue n’est pas un moyen de donner son avis à son interlocuteur mais plutôt de donner des arguments afin que l’autre personne comprenne notre point de vue.


A quoi sa sert ?


-Faire connaître sa position, sa thèse,
-La faire admettre à un lecteur ou à un auditoire,
-Ébranler des contradicteurs, faire douter un adversaire, faire basculer les indécis,
-Contredire une thèse opposée, critiquer une position contraire ou éloignée,
-Démontrer avec rigueur, ordre et progression,
-Se mettre en valeur,
-Servir une cause, un parti, une foi…
-Marquer les esprits par des effets de logique, de présentation, de mise en perspective, des procédés oratoires…





jeudi 12 février 2009

mon journal intime


jeudi 15 février,

Je me lève, enfin j’essaye comme d’habitude. Mon petit déjeuner ne change pas, j’ai toujours mon pain au chocolat et mon verre de jus d’orange pas frais.
Arriver dans ma douche, la même fille, pas toujours attirante le matin, sa c sure m bon c la vie comme dit mon père.
Sortant de ma douche, je m’habille, et oui mais pauvre habits tacher, ce n’est pa grave je n’ai pas d’amis, aucune honte en mois.
Arriver dans mon école, les professeurs m’appelle et me virent de l’établissement, la cause est tout simplement que mon odeur n'est pas innaperçu.
Quand je suis rentré chez mes parents, je me suis faits engueuler, c normal c’est la 3eme fois,
Je n’en peux plus d’être rejeter comme sa ? sans amis, sans « parents»et maintenant sans copine.
Que dois-je faire ?



RIEN VIVRE COMME SA !!!!!

jeudi 22 janvier 2009

extrait de journal intime


VENDREDI 9 OCTOBRE 1942
Chère Kitty,
Aujourd’hui, je n’ai que des nouvelles sinistres et déprimantes à te donner. Nos nombreux amis juifs sont emmenés par groupes entiers. La Gestapo ne prend vraiment pas de gants avec ces gens, on les transporte à Westerbork, le grand camp pour juifs en Drenthe, dans des wagons à bestiaux.
Miep nous a parlé de quelqu’un qui s’est échappé de Westerbork. Westerbork doit être épouvantable. On ne donne presque rien à manger aux gens, et encore moins à boire, car ils n’ont de l’eau qu’une heure par jour et un W.C. et un lavabo pour plusieurs milliers de personnes. Ils dorment tous ensemble, hommes, femmes et enfants ; les femmes et les enfants ont souvent la tête rasée. Il est presque impossible de fuir, les gens du camp sont tous marqués par leurs têtes rasées et pour beaucoup aussi par leur physique juif.
S’il se passe déjà des choses aussi affreuses en Hollande, qu’est-ce qui les attend dans les régions lointaines et barbares où on les envoie ? Nous supposons que la plupart se font massacrer. La radio anglaise parle d’asphyxie par les gaz ; c’est peut-être la méthode d’élimination la plus rapide.
Je suis complètement bouleversée. Miep raconte toutes ces horreurs de façon si poignante, elle est elle-même très agitée. L’autre jour, par exemple, une vieille femme juive paralysée était assise devant sa porte, elle attendait la Gestapo qui était allée chercher une voiture pour la transporter. La pauvre vieille était terrifiée par le bruit des tirs qui visaient les avions anglais et les éclairs aveuglants des projecteurs. Pourtant Miep n’a pas osé la faire entrer, personne ne l’aurait fait. Ces messieurs les Allemands ne sont pas avares de punitions.
Bep n’est pas très gaie non plus, son fiancé doit partir en Allemagne. Chaque fois que des avions survolent nos maisons, elle tremble que leur cargaison de bombes, qui va souvent jusqu’à un million de kilos, ne tombe sur la tête de Bertus. Des plaisanteries du genre : il n’en recevra sans doute pas un million et une bombe suffit, me paraissent un peu déplacées. Bertus est loin d’être le seul à partir, tous les jours des trains s’en vont, bondés de jeunes gens. Lorsqu’ils s’arrêtent à une gare en trajet, ils essaient parfois de se glisser hors du train et de se cacher ; un petit nombre d’entre eux y réussit peut-être. Je n’ai pas fini ma complainte. As-tu déjà entendu parler d’otages ? C’est leur dernière trouvaille en fait de punition pour les saboteurs. C’est la chose la plus atroce qu’on puisse imaginer ? Des citoyens innocents et haut placés sont emprisonnés en attendant leur exécution. Si quelqu’un commet un acte de sabotage et que le coupable n’est pas retrouvé, la Gestapo aligne tout bonnement quatre ou cinq de ces otages contre un mur. Souvent, on annonce la mort de ces gens dans le journal. À la suite d’un « accident fatal », c’est ainsi qu’ils qualifient ce crime. Un peuple reluisant, ces Allemands, et dire que j’en fais partie ! Et puis non, il y a longtemps que Hitler a fait de nous des apatrides, et d’ailleurs il n’y a pas de plus grande hostilité au monde qu’entre Allemands et juifs.
Bien à toi,
Anne