vendredi 12 décembre 2008

autoportrait 2

Moi, je suis un gamin comme tout les autres sauf que je suis super riche et surtout pas mal. Ma vie ce résume a sortir, faire du sport, draguer…etc.…

Je suis un garçon de taille moyenne : 1,75 m.

Je suis brun, mes yeux dévastateur son bleu (sa me donne un suçai fou).

J’aime aller a l’école, enfin non : mes camarade aime me voir a leur coté, je remonte le niveau de la classe dans tout les domaines, c’est un énorme fardeau mais qui n’ai pas déplaisant.

Quand je vois les autres qui n’arrêtes pas de se peindre, sa me fait rire, moi j’ai tout se qu’il me faut en claquant les doigts.

Je c’est que j’ai une vie de rêve, que je suis riche et très attirant, mais c’est la vie qui a voulue sa, et elle a bien réussit…

Le seul problème d’être comme sa, c’est pour les filles, m’été vous a ma place, c’est trop facile, toutes les filles sont a mes pied sans que je ne dise ou que je face quelque chose,

Vous êtes dégouter, non ?

jeudi 4 décembre 2008

2eme article d'Ernestine chasseboeuf

Les deux lettres:

Chère madame

Je vous ai entendue ce matin à Patricia Martin. Qu’est-ce que vous leur avez mis aux banquiers. Patricia Martin je lui en veux un peu parce qu’elle avait invité del Castillo pour défendre les bibliothèques payantes. Il avait parlé de moi comme d'une vieille paysanne abrutie, ça m’avait pas plu. Mais vous c’était bien de défendre les gens qu’ont pas beaucoup de sous, parce que les banquiers c’est des vrais escrocs. J’ai eu une histoire avec le crédit agricole quand un italien avait tiré de l’argent sur mon compte, ils ont rien voulu savoir, mais je savais bien que c’était pas moi qu’avait fait ces chèques, c’était un italien, le type qui touchait mes sous, mais je me souviens plus du nom.
Enfin j’ai retiré mes sous du crédit, j’ai tout mis à la poste et pourtant leurs chéquiers y’aurait encore à dire.
Voilà , encore bravo, je vais commander votre livre. Saluez Maurice D. si vous le voyez, meilleurs vœux et que ma lettre vous trouve de même,

Ernestine Chassebœuf




Cher Monsieur ,
Je n’ai pas compris si vous étiez du Morvan ou de Meudon et pourquoi votre lettre part de Saint Saturnin si vous habitez en 92. Si vous prenez la voiture pour porter le courrier jusqu’à Saint Saturnin, vous auriez dû venir jusqu’ici ça vous aurait gagné un timbre.
J’ai mis du temps à répondre à cause de plein de soucis et du travail au jardin qui n’avance pas. Ce que je faisais en une heure en 1935 me faut une journée pour le faire maintenant, autant vous dire que je crois pas au progrès, de par mon expérience personnelle.
Vous avez la chance d’avoir une machine à écrire, celle que j’avais achetée à la brocante m’a laissé définitivement, le ruban est coincé et j’ai des trop gros doigts pour les touches. Le voisin m’a fait un cours d’ordinateur mais j’y comprends goutte et c’est pas à mon âge qu’on peut s’y mettre, faudrait des claviers spéciaux. Pour l’orthographe, c’est vrai que je ne suis pas mauvaise, même avec l’âge, par exemple quand vous écrivez horto, ça veut dire jardin, et c’est pas du grec c’est du latin, je l’ai vu dans le Larousse. Excusez-moi si je vous ai vexé mais faut pas rire avec l’origine des mots même si Alain Rey veut pas signer ma pétition et j’espère que cette lettre ne vous trouvera pas de même,

Ernestine Chassebœuf

Ernéstine Chasseboeuf 1er article

Ernestine Chassebœuf a toujours vécu en Anjou. Née à Botz-en-Mauges, elle passe le certificat d'études et épouse en 1928 Edmond Chassebœuf, qui mourra en 1970. Elle habite la majeure partie de sa vie à Coutures, dans le Maine-et-Loire, où elle s'occupe de son jardin et de ses poules.
En 1999, elle commence à écrire des lettres dénonçant dans un style truculent et naïf dysfonctionnements et injustices.
Alain Rémond et Jean Lebrun lui permettent d'acquérir une petite notoriété. C'est surtout à l'occasion de la querelle du droit de prêt en bibliothèque qu'elle se fait connaître en écrivant à tous les écrivains qui avaient signé la pétition réclamant le retrait de leurs livres des bibliothèques tant qu'un accord n'aurait pas été trouvé. Sur sa lancée, elle continue à écrire à des personnalités économiques, politiques, littéraires ou des médias ; son bon sens et sa franchise servant à mettre en lumière les incohérences et la médiocrité de notre société.Ernestine Chasseboeuf, née Troispoux, 93 ans au compteur, écrit comme on rouspète.

jeudi 13 novembre 2008

le naturalisme

Le naturalisme est un mouvement littéraire de la fin du Second Empire (1870), né de l’influence des sciences, de la médecine expérimentale et des débuts de la psychiatrie.
Il s’agit d’une théorie suivant laquelle la littérature doit peindre les humains et la société en s’inspirant des méthodes utilisées dans les sciences naturelles :observation sur le terrain, exactitude, refus de l’interprétation hâtive non fondée. Le romancier vérifie expérimentalement dans ses romans le rôle des déterminismes sociaux et biologiques sur l’individu et le groupe.

Quelques écrivains naturalistes:

- Emile Zola (1840-1902) : principal théoricien de la doctrine naturaliste.
- Thérèse Raquin (1867), L’Assommoir (1877), La Bête humaine (1890)
- Guy de Maupassant (1850-1893) : Une Vie (1883), Bel-Ami (1885), Mont-Oriol (1887)
-Joris-Karl Huysmans (1848-1907) : Les Sœurs Vatard (1879), A vau-l’eau (1882)


Sous l’impulsion des frères Goncourt et d’Emile Zola, le naturalisme se développe en théorie littéraire : "Toute l’opération consiste à prendre les faits dans la nature, puis à étudier le mécanisme des faits en agissant sur eux par les modifications des circonstances et des milieux"


Le romancier naturaliste est un OBSERVATEUR et un EXPERIMENTATEUR.





jeudi 16 octobre 2008

Quel style !!!

Maupassant évoque les conseils que lui donnait son maître Gustave Flaubert. Ils permettent de comprendre et d’apprécier les exigences d’écriture que se fixait Maupassant.
« Quand vous passez, me disait-il, devant un épicier assis sur sa porte, devant un concierge qui fume sa pipe, devant une station de fiacres, montrez-moi cet épicier et ce concierge, leur pose, toute leur apparence physique contenant aussi, indiquée par l’adresse de l’image, toute leur nature morale, de façon à ce que je ne les confonde avec aucun autre épicier ou avec aucun autre concierge, et faites-moi voir, par un seul mot, en quoi un cheval de fiacre ne ressemble pas aux cinquante autres qui le suivent et le précèdent. »
J’ai développé ailleurs ses idées sur le style. Elles ont de grands rapports avec la théorie de l’observation que je viens d’exposer. Quelle que soit la chose qu’on veut dire, il n’y a qu’un mot pour l’exprimer, qu’un verbe pour l’animer et qu’un adjectif pour la qualifier. Il faut donc chercher, jusqu’à ce qu’on les ait découverts, ce mot, ce verbe et cet adjectif, et ne jamais se contenter de l’à-peu-près, ne jamais avoir recours à des supercheries, mêmes heureuses, à des clowneries de langage pour éviter la difficulté.
Guy de Maupassant, Préface de Pierre et Jean, 1887.


Les intensions de la préface


1-Flaubert a obligé le jeune maupassant à travailler avec rigueur et précision.
Quelle est, selon Flaubert, la principale qualité de l'écrivain ?

La principale qualité de Maupassant, il donne envie au lecteur de lire, de s'enstruire, de vivre son histoire très interessente.


2-L'écrivain travaille les mots comme le peintre travaille les formes et les couleurs. Quel est l'objectif prioritaire d'un écrivain réaliste comme Maupassant ?

Maupassant ecrit, et veut nous faire comprendre différentes choses dans un seul même mots, il veut nous faire rentrer dans son histoire comme une personne rentre dans une conversation, ce qui n'est pas évidant.


3-Maupassant présente une galerie de personnages. Combien de voyageurs la digilence contient-elle ? Identifier chacun d'eux.

La digilence comporte exactement sept personnes, le conducteur assie devant avec son baton de boie.
Le deuxieme a coté de lui, une femme assie également regarde un garde près d'elle.
Deux personnes derières la digilence, debout regardent aussi les gardes.
Une dernière personne assie a l'intérieure de la digilence, surment une bourgeoise.


4-Quels types de renseignements Maupassant apporte-t-il au lecteur pour décrire chaque personnage ?




Il apporte au lecteur pour les décrire: grâce a leurs tenues, leurs posture, leurs visages.



5-En vous appuyant sur deux exemples de personnages créés par Maupassant, montrez que l'écrivain a mis en application les conseils de son maitre, Gustave Flaubert. N'oubliez pas de présenter chaque extrait au début de votre réponse en indiquant les références, le type de texte et la thématique générale.

jeudi 9 octobre 2008

Application: l'analyse de la construction d'un texte

La construction du texte, c'est son organisation, l'agencement des idées qui le composent, la manière dont le sens se construit au fur et a mesure que le texte progresse.


- Montrez-nous ce planteur du nord, dit la mère.
- C'est le type près d'Agosti, dans le coin. Il revient de paris.
Ils l'avaient déjà vu à coté d'Agosti. Il était seul à sa table.
C'était un jeune homme qui paraissait avoir vingt-cinq ans, habillé d'un costume de tussor grège.
Quand il but une gorgée de pernod ils virent à son doigt un magnifique diamant, que la mère se mit à regarder en silence, interdite.
-Merde, quelle bagnole, dit Joseph. Il ajouta: pour le reste, c'est un singe.
Le diamant était énorme, le costume en tussor, très bien coupé.
Jamais Joseph n'avait porté de tussor. Le chapeau mou sortait d'un film: un chapeau qu'on se posait négligemment sur la tête avant de monter dans sa quarante chevaux et d'aller à Longchamp jouer la moitié de sa fortune parce qu'on a le cafard à cause d'une femme.
C'était vrai, la figure n'était pas belle. Les épaules étaient étroites, les bras courts, il devait avoir une taille au-dessous de la moyenne. Les mains petites étaient soignées, plutôt maigres, assez belles. Et la présence du diamant leur conférait une valeur royale, un peu déliquescente.
Il était seul, planteur, et jeune.




Marguerite duras, Un barrage contre le pacifique, 1950,Ed.Gallimard.



Comentaire :

Ce texte écrit en 1950 par Marguerite Duras paru au édition Gallimard.
Il est organisé sous forme de deux paragraphe, le premier de "Montrez- nous" jusqu'à " un singe" et le 2eme de "le diamant" jusqu'à et jeune".
Le 1er paragraphe comporte des tirets comme dans un dialogue.

corriger du comentaire :

L'extrait d'un "Barage contre le Pacifique", roman paru en 1950, écrit par Marguerite duras, est le portrait d'un homme. Précédé et anoncé par deux réplique d'un dialogue, ce portrait se divise en deux partit séparer par le comantaire d'un personnage. La 1ere partit décrit la tenue vestimentaire et la bague du planteur" costume de tussor grège et magnifique diamant".
La seconde partie reprend les mêmes détails mais les développent pour montrer des signes d'une certaines richesse "costumes très bien coupé, sa quarante chevaux, fortunes".
Cette seconde partit se poursuit avec le portrait physique rapide et incomplait(figure, épaule, bras, main)

jeudi 18 septembre 2008

le grand écrivain !!!


1854-1868 - Rimbaud est né le 20 octobre 1854 à Charleville (et non à Charleville-Mézières car ces 2 villes étaient distinctes à cette époque et n'ont fusionnées qu'en 1966), une petite ville des Ardennes, de l'Est de la France, tout près de la Belgique. Son père, Frédéric Rimbaud, est capitaine d'infanterie, il a épousé en 1853 Vitalie Cuif, fille de paysans ardennais. Le père quitte très vite le foyer familial. Il laisse Vitalie seule avec cinq enfants : Frédéric, né un an avant Arthur, Vitalie (née en 1858), Isabelle (née en 1860) et une autre fille née en 1857 qui meurt en bas-age. Dès l'age de huit ans, Rimbaud fréquente l'Institut privé Rossat, à Charleville. En 1865, il entre au collège. C'est sur les bancs du collège qu'il rencontre Ernest Delahaye. Né un an avant Rimbaud, Delahaye noue avec le jeune Arthur des liens d'amitié qui se prolongeront toute sa vie.
Arthur se révèle vite être un « fort en thème » remarqué et encouragé par ses professeurs.
1871 - En février, Rimbaud part pour Paris, il rentre à pied à Charleville début mars. En mai, il est encore à Charleville, d'où il écrit à Georges Izambard et Paul Demeny les deux « lettres du Voyant ». Suit une période dont on sait peu de choses. Rimbaud participe probablement aux événements de la Commune de Paris pour laquelle il semble s'être passionné. C'est sans doute à ce moment qu'il compose « Les déserts de l'amour », où mûrit déjà ce qui fera le corps de la « Saison en enfer ».

vendredi 12 septembre 2008

pourquoi écrire ?


La grande question, "pourquoi écrire"...
Chaque personne a son opinion personel a se sujet, toute persone est capable de devenir écrivain.
C'est la meilleure manière d'évacuer ses sentiment.
Il y a bientot 70 ans le monde était en guerre, quand cette crise fût terminer les ancien soldats ne pouvait pas parler, pour remedier à se problème, il s'exprimère sous forme de livre, de lètre, de journal intime. Cela permit au autre français de comprendre se qu'il on vécue pendant ses longue année, des preuves sont maintenan présente.
L'écriture a aussi permit de dire l'actualité du monde à la population, sans se média les lecteurs ne seraient pas au courant de la vie d'aujourd'hui .
Écrire et lire sont deux composantes complémentaires et indissociables pour parvenir à maîtriser la langue.
L’écriture qui permet d’accéder aux savoirs, qui offre à chacun des instruments de la liberté de penser et d’agir relève bien d’une mission fondamentale de l’école.
L’écriture est une médiation, le support qui me permet de m’adresser à l’autre, au lecteur du livre, et à ceux de plus en plus nombreux désormais qui demandent aussi une prise en charge de cette parole écrite par la voix, que ce soit celle de l’auteur ou celle d’un comédien qui interprète le texte.